vendredi 20 juillet 2012

Mr. Paulin TSHIBANGU : « Chaque finaliste de l’U.C.C recourt à la webographie, c’est un motif de fierté ».

 
L’Université Catholique au Congo est l’une des grandes institutions académique de la R.D.C. A l’heure de l’internet, l’U.C.C. n’est pas restée en marge. Elle dispose en son sein d’un cybercafé bien outillé. Mr Paulin TSHIBANGU, responsable de ce cyber en décrit le fonctionnement.

 
1.      Depuis quelle année l’internet est-il arrivé à l’U.C.C ?
Mr Paul T. : Il n’y a pas dix ans, depuis 2003
2.      Peut-on remarquer la « profondeur » ou mieux la nouveauté qu’a amenée l’internet à l’U.C.C ?
Mr. Paulin T. : Pour le moment, chaque finaliste recourt à la webographie et nous le remarquons lors des défenses. C’est un motif de fierté.
3.      Qui fréquente régulièrement votre cybercafé ?
Mr. Paulin T. : les étudiants et d’autres administratifs, voire des gens de l’extérieur et même certains professeurs. Pendant l’année académique, il y a un engouement prononcé, mais en période d’examen la fréquentation diminue.
4.      A quel degré d’ouverture situez-vous l’U.C.C grâce à l’internet ?
Mr. Paulin : Aujourd’hui, grâce à l’internet, l’U.C.C coordonne le projet Universitic. Un projet des flamands qui contribue au désenclavement des universités du Congo dans le monde scientifique.
5.      Y a-t-il des difficultés pour faire fonctionner votre cybercafé ?
Mr. Paulin : L’absence du courant électrique et le retard dans le paiement d’abonnement sont les principales difficultés. Ce retard est dû à la lenteur du partenaire, mais cette année tout marche bien.

MVIBUDULU NGOMA

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